Le Canada sous le crayon de caricaturistes politiques du Nouveau-Brunswick:
la perspective et l’humour de Josh Beutel et de Bill Hogan
Préface |
Introduction |
Banque de données de caricatures éditoriales |
Activités en salle de classe
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Bill Hogan, 1993-9-12
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Numéro de référence: MC3224-14
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Portée et contenu
Le fait que la popularité de Frank McKenna se maintient dans les sondages et que le Parti libéral forme le gouvernement s’explique en partie par la présence du Parti CoR qui a divisé le vote centre-droite.
Titre
L’incidence des partis multiples sur la politique du N.-B.
Légende
"… and a VERY special thank you… goes to the CoR Party…
Enjeux
CoR Party of New Brunswick
"Le CoR Party of New Brunswick (Confederation of Regions) a été créé en 1989. Il avait pour objectif prioritaire d’éliminer le bilinguisme officiel au Nouveau-Brunswick en révoquant la Loi sur les langues officielles de 1969. Plusieurs attitudes et politiques du parti étaient perçues comme anti francophones, ce qui éliminait pratiquement toute chance d’obtenir le soutien des régions francophones. L’élection de 1991 permet au CoR de devenir l’opposition officielle, mais les luttes intestines et les batailles pour la direction porteront atteinte à son efficacité. Il s’agit de la seule filiale du Confederation of Regions Party à remporter des sièges, mais elle les perd tous à l’élection de 1995. Le parti est officiellement dissous en mars 2002."
Personnes
Frank McKenna
- Né Francis Joseph McKenna à Apohaqui (Nouveau Brunswick) le 19 janvier 1948.
- Libéral.
- D’abord élu comme député provincial de Chatham (N.-B.) en 1982.
- Chef des libéraux du N.-B., 1985.
- Devient premier ministre, remportant la victoire électorale la plus complète de l’histoire canadienne quand les Libéraux ont remporté tous les sièges de l’Assemblée législative du N.-B., 1987.
- Sa priorité a été la création d’emplois.
- Favorise la croissance des petites et moyennes entreprises.
- Établit un numéro pour appeler sans frais directement au bureau du premier ministre, 1-800-MCKENNA.
- Démissionne en tant que premier ministre en 1997, au 10e anniversaire de son élection comme premier ministre, tel que promis