Références photographiques


David Moore, vers 1850. David Moore (1801-1883), son épouse, Nancy Campbell (1804-1869), et leur premier enfant, John, quittèrent le comté de Donegal, en Irlande, en 1826, pour immigrer au Nouveau Brunswick, s’installant d’abord à St. Martins, puis à New Jerusalem, dans le comté de Queens, en mai 1857. Deux des frères de David Moore, John et Thomas, ont aussi immigré au Nouveau Brunswick. David, qui fut écrivain et poète, a été instituteur dans différentes écoles de la province, notamment à Coot Hill Settlement pendant les années scolaires s’étant terminées en février 1830 et en avril 1831. Gracieuseté de Betty Damery.
DavidMoore

Archives provinciales du Nouveau-Brunswick, Collection généalogique de Bessie Currie : MC1884/MS2/I
Almeda et Nellie Currie, vers 1880. Elles étaient les filles de William Duncan Currie et Charlotte D. Currie; leur arrière grand père paternel, Joshua Currie, quitta l’Irlande pour le Nouveau Brunswick, où il s'installa à Mactaquac.
MC1884-MS2-I

Archives provinciales du Nouveau-Brunswick, Fonds James Brown : MC295/MS21/3
La famille d'Henry Maxwell, à St. Stephen, vers 1900. Henry Maxwell épousa Mary Brown, fille de l’honorable James Brown, à Tower Hill, St. Stephen, le 31 mai 1870. Député à l’Assemblée législative, James Brown fut nommé arpenteur général du Nouveau Brunswick. Pour venir en aide aux colons pauvres et encourager l’immigration, il mit en œuvre un système d'achat de concessions de terres en échange de travaux routiers.
MC295-MS21-3

Archives provinciales du Nouveau-Brunswick, James Brown fonds: MC295/MS21/4
Catherine Brown McKenzie, vers 1900. Née à St. Stephen, Catherine Brown McKenzie était la fille de l’honorable James Brown, qui fut arpenteur général du Nouveau Brunswick et qui, pour venir en aide aux colons pauvres et encourager l’immigration, mit en œuvre un système d'achat de concessions de terres en échange de travaux routiers.
MC295-MS21-4

Archives provinciales du Nouveau-Brunswick, photographies de dossier de projet: P110-205
« La première lettre de l’émigrant à sa famille », tirée de l’Illustrated London News.
P110-205