L’efficacité de nombreuses mesures de santé publique reposait sur une coopération de la population. Les avis, les photographies et les correspondances ci après ont trait aux ordres émis par le gouvernement à l’intention du public, afin d’empêcher que le virus ne se répande plus avant. La population recevait comme instruction d’éviter les zones où il y avait beaucoup de monde, de couvrir ses éternuements et sa toux en public et de s’isoler après un contact avec une personne malade.
Affiche du Conseil de la santé donnant comme instruction au public de se couvrir le visage et de limiter la portée des éternuements et de la toux. Référence, dans une note marginale, à la fermeture des écoles et des églises en octobre 1918.
Source: RS136-L5d5. / RS136-L5d5-1.2: Archives du sous ministre de la Santé.
Une élève, fréquentant la Netherwood School à Rothesay, porte un masque à l’automne 1918
Source: P602-113; 114; 127: fonds familial sir Samuel Leonard Tilley
Série de photographies prises durant une quarantaine mise en place entre le 26 avril et le 11 mai 1918, pour lutter contre la grippe espagnole à Saint John. Les personnes en isolement à la maison Dufferin[?] comprenaient Snyder, Frezell, Wade et Lily Williams.
Source: P796-23-01; 02; 04; 05: fonds Fred Alder Duffy.
Liste des mesures de prévention transmises par le sous ministre de la Santé fédéral, J. A. Amyot, au ministre de la Santé du Nouveau Brunswick, William F. Roberts, en date du 21 janvier 1920. En cas de résurgence de la grippe espagnole, Amyot insistait sur l’importance de la sensibilisation de la population et d’un accroissement du personnel médical.
Source: RS136-L5d3 (12): Archives du sous ministre de la Santé..